La femme aux indices Belges
Qui est la femme dont le corps sans vie a été retrouvé le 6 janvier 2013 sur une rive de la Meuse, dans la région de Maastricht (Pays-Bas) ? Il est possible que son cadavre ait été emporté par le fleuve depuis la Belgique jusqu’aux Pays-Bas. Nous avons réalisé une reconstitution de son aspect physique sur la base d’un scan de son crâne. Il est toutefois possible que le portrait ne soit pas ressemblant. Nous ne connaissons pas la couleur de ses cheveux, de ses yeux, ni de sa peau. Les éléments les plus importants permettant une éventuelle identification sont ses bijoux. La femme avait un piercing à la langue et portait une bague originale et un collier gravé d’inscriptions. Nous appelons toutes les personnes susceptibles d’identifier la femme à prendre contact avec la police.
Do you have a tip?
Let us know using the tip form.
Description
La Meuse est un fleuve qui entre aux Pays-Bas après être passé par la ville belge de Liège. Il est probable que le corps de la victime non identifiée ait été entraîné vers les Pays-Bas par les eaux du fleuve. Juste après la frontière, à proximité de Maastricht, on trouve deux étangs reliés par la Meuse : le « Pietersplas » et le « Grindgat Oost-Maarland ». C’est là, sur la rive, que le corps de la femme inconnue a été retrouvé, le 6 janvier. Son corps gisait entre des ordures flottantes accumulées à cet endroit. Une correspondance ADN a été établie entre la femme et une trace de sang retrouvée dans une affaire criminelle en Belgique, qui n’a toutefois pas permis d’identifier la victime. Le corps étant dans un état de décomposition avancé au moment où il a été retrouvé, nous ne savons que très peu sur l’aspect physique de la femme. Étant donné qu’elle ne portait pas de vêtements, seuls ses bijoux peuvent fournir des indices quant à son identité.
La bague au poisson
La femme portait une bague particulière, ornée d’une breloque en forme de poisson. Au milieu, le poisson est serti d’une petite pierre rose. Il s’agit d’une bague de la marque Clio Blue, de taille 58. À l’époque, ce type de bague se vendait notamment dans la région de Liège, en Belgique. Sur la photo, on peut voir la bague comme elle a été retrouvée, et la bague neuve, comme elle était probablement au moment où elle était portée par la victime. Connaissez-vous quelqu’un qui a porté une telle bague vers 2012 et qui semble avoir disparu après le 6 janvier 2013 ? Veuillez le signaler à la police.
Le piercing de langue
La femme portait un piercing de langue argenté. Ce piercing avait deux petites boules argentées aux extrémités de la tige.
La montre sertie de petites pierres
La femme portait également une montre présentant des caractéristiques spéciales. Celle-ci était équipée d’un mécanisme japonais de la marque Q&Q et portait le numéro de série GQ20j204Y. Les caractéristiques distinctives de la montre sont son cadran blanc avec l’inscription Q&Q Quartz en lettres noires et de grands chiffres de couleur noire. Le cadran était entouré de petites pierres et le bracelet de montre était de couleur argentée. Sur la photo, on peut voir la montre comme elle a été retrouvée et la montre à l’état neuf.
Le collier gravé d’inscriptions
La femme portait également un collier de couleur argentée. Un détail intéressant du collier est qu’il portait certaines inscriptions, parmi lesquelles les lettres SL. Il pourrait s’agir d’une marque, mais également d’initiales. On peut voir aussi sur le collier deux petites flèches. La femme portait également une simple bague en inox décorée d’une petite pierre.
Informations
Si vous détenez des informations utiles concernant l’identité de cette femme, merci de nous les transmettre en remplissant le formulaire sur cette page, en envoyant un message à coldcase@politie.nl ou en appelant le +31 (0) 79 345 9800.
Vous pouvez également transmettre ces informations via le site web d’Interpol.
